La CPI lance un mandat d’arrêt contre un chef djihadiste malien
Les crimes visés sont notamment des meurtres …dont ceux de soldats…, des viols, de l’esclavage sexuel, de la torture, ainsi que des attaques intentionnellement dirigées contre des bâtiments consacrés à la religion et des monuments historiques.
Fondateur de Ansar Dine, qui a ‘régné’ un moment sur la cité des Askia, il avait ordonné en 2012 , la destruction de 14 des 16 mausolées de saints musulmans de Tombouctou.
Le recherché par la CPI qui dirige le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM), lié à Al-Qaïda, opérant aussi au Mali, au Burkina Faso et au Niger, est aussi accusé d’innombrables attaques contre les armées nationales et d’exactions contre les populations civiles.
A l’heure actuelle, nombreux sont les analystes qui pensent que la décision de la CPI, est un mandat de trop.
Ils pensent, que des massacres ont lieu dans plusieurs parties du monde et qu’il faudra procéder à la recherche puis l’arrestation de tous les auteurs, que de s’appésantir sur les pays dit faibles.