Depuis sa prise de fonction en tant que président du Conseil National pour la Sauvegarde de la Patrie(CNSP), le Général de Brigade AbdourahamaneTiani s’est imposé comme un acteur clé de la scène politique nigérienne, porteur d’une vision audacieuse et prometteuse pour l’avenir du pays.
Dans un contexte marqué par des défis sécuritaires, économiques et sociaux majeurs, son leadership se distingue par un engagement sans faille en faveur de la souveraineté nationale, de la justice sociale et de la reconstruction d’un État résilient.
Une priorité absolue : la sécurité nationale
Conscient des graves menaces posées par le terrorisme et l’insécurité transfrontalière, le Général Tiani a placé la sécurité au cœur de son programme.
Sous son implusion, des réformes stratégiques ont été initiées pour renforcer les
capacités des forces de défense et de sécurité.
Ces efforts incluent l’amélioration des équipements militaires, la formation renforcée des troupes et le déploiement d’une stratégie coordonnée avec les pays voisins, notamment les frère de la Confédération AES pour neutraliser les groupes armés opérant dans la région du Sahel.
Cette politique proactive vise non seulement à protéger les populations, mais aussi à rétablir la confiance des citoyens envers l’État, souvent perçue comme affaiblie face à la montée des crises sécuritaires.
Une économie tournée vers l’autosuffisance et la
souveraineté
Le président Tiani met également l’accent sur la revitalisation de l’économie nigérienne. Dans ses discours et actions, il prône une rupture avec la dépendance excessive aux financements extérieurs en favorisant une exploitation responsable des ressources naturelles du pays, notamment l’uranium et le pétrole et les métaux rares.
Le développement de l’agriculture est une autre pierre angulaire de sa vision économique.
En investissant dans des infrastructures modernes d’irrigation et de transformation agricole, le chef de l’État ambitionne de transformer le Niger en un modèle d’autosuffisance alimentaire au Sahel.
Cette démarche vise non seulement à réduire la pauvreté, mais aussi à créer des emplois durables pour les jeunes.
La justice sociale et la lutte contre la corruption
Le Chef de l’Etat, Abdourahamane Tiani, s’est engagé dans une croisade contre la corruption et les injustices sociales.
Il considère que la transparence dans la gestion des finances publiques et une répartition
équitable des ressources sont essentielles pour restaurer la confiance des Nigériens envers leurs institutions.
Sous son leadership, des mesures ont été prises pour auditer les dépenses publiques et sanctionner les détournements de fonds.
Ces réformes visent à instaurer un climat de responsabilité et à garantir que les ressources nationales profitent à l’ensemble de la population.
Une diplomatie indépendante et audacieuse
Le Général Tiani défend une diplomatie centrée sur la souveraineté et le respect des intérêts nationaux.
En privilégiant des partenariats équilibrés et en diversifiant les alliances internationales, il aspire à redéfinir la place du Niger sur la scène mondiale.
Cette approche lui a valu des soutiens, mais aussi des critiques, notamment de la part de certains acteurs internationaux qui voient d’un œil sceptique l’affirmation de l’indépendance de notre chère patrie le Niger.
Malgré cela, le pésident Tiani reste déterminé à maintenir une ligne diplomatique alignée sur les aspirations de son peuple et ceux des Etats de l’Alliance qui ont cités en exemple dans tout l’afrique et dans le monde.
Un leader visionnaire face à l’histoire
Le Général de Brigade Abdoulrahamane Tiani, incarne une nouvelle ère pour le Niger marquée par une volonté de relever les défis structurels du pays tout en bâtissant un avenir durable.
Ses actions et ambitions, bien que confrontées à des résistances internes et externes, témoignent d’un engagement profond en faveur de la dignité, de la souveraineté et du progrès du peuple nigérien.
L’histoire jugera son passage à la tête de l’État, mais une chose est certaine : Abdourahamane Tiani s’efforce de laisser une empreinte durable sur le destin de son pays.
Par Abdoulkarim Mahamadou. Journaliste