Un des brillants intellectuels du Niger, patriote pur, le Professeur Farmo Moumouni, qui n’est plus à présenter, livre cette analyse sur…L’ENIGME TIANI… comme est présenté l’homme qui dirige avec conviction le Niger, le Général Abdourahamane TIANI, par ceux-là qui promettent l’enfer au pays et ne comprennent pas comment les nigériens ont surmonté l’incroyable, le criminel embargo imposé à ce peuple cité en exemple dans le monde entier pour sa résilience.
Que le président TIANI devienne une énigme dans Jeune Afrique, caisse de résonance de l’Occident hostile au Niger, est une bonne nouvelle pour l’ homme qui préside aux destinées du Niger depuis le 26 juillet 2023, et pour le pays engagé dans la conquête de sa souveraineté.
Pourquoi aux yeux des Occidentaux et de leurs affidés africains, le Général TIANI apparaît comme une énigme ?
Pourquoi l’Occident en général, la France, les États-Unis et l’Allemagne en particulier, la Communauté internationale, et la CEDEAO qui leur est inféodée ne comprennent pas le Général TIANI, Président du Niger ?
Quelles sont, au demeurant, les raisons qui motivent la production de cet article du mensuel Jeune Afrique ?
Telles sont les questions essentielles qui viennent à l’esprit à la lecture de cet article.
Ne perdez pas votre temps à chercher les réponses ailleurs, elles sont dans l’article de Laplace.
C’est parce que le général TIANI est « Droit dans ses bottes», parce que «La communauté internationale a beau avoir tenté de le faire fléchi, le général n’a rien cédé», parce que : «Force est de constater que, depuis un an, le discret général fait mentir les cassandres qui prédisaient sa chute.
Asphyxie économique liée aux sanctions de la Cedeao, situation sécuritaire dégradée, équilibre précaire au sein de la junte. Les motifs d’effondrement ont été nombreux, mais le régime a tenu. Sans rien concéder à la communauté internationale,
TIANI a obtenu la levée des sanctions imposées au Niger en février dernier. Il n’a pas davantage reculé lorsque Washington et Berlin ont tenté de négocier le maintien de leurs troupes au Niger.
Il a fait preuve de la même intransigeance face au Nigeria, dont le chef de l’État, Bola Tinubu, assure la présidence de la Cedeao, ou face au voisin béninois, auquel il refuse de rouvrir la frontière malgré des représailles en matière d’acheminement du pétrole.
Parce que TIANI ne fait pas partie de ces dirigeants africains qui ne se sont pas débarrassés de leurs complexes d’infériorité, qui tremblent et s’agenouillent encore devant l’homme blanc.
Parce ce que TIANI est de ceux qui font passer l’intérêt de leurs peuples avant les intérêts de l’Occident.