« La région doit dégager une volonté politique commune pour pouvoir lutter contre l’insécurité”, a estimé le chef de l’Etat mauritanien, dans une interview accordée aux confrères de l’Agence France Presse.
Le dirigeant mauritanien, qui brigue un second mandat, pense que les Sahéliens doivent dégager une volonté politique commune pour pouvoir lutter contre l’insécurité.
Faisant remarquer que « la situation sécuritaire dans la sous-région n’est pas du tout bonne, le dirigeant mauritanien, pense qu’elle s’est même empirée avec la prise par la force du pouvoir par des militaires dans certains pays du Sahel.
A l’AFP, il a souhaité la mise en place d’une nouvelle structure qui va se substituer à l’alliance du G5 Sahel, créée en 2014 par la Mauritanie, le Burkina, le Mali, le Niger et le Tchad ,avec l’appui de partenaires occidentaux , pour faire face au djihadisme et aux défis de développement de la sous-région, et dotée d’une force conjointe à l’action restée limitée.
Le dirigeant mauritanien qui cherche un nouveau mandat, pense que le G5 Sahel n’est pas la bonne solution .
Il estime, qu’il faudra trouver une autre alternative, après une discussion avec les Etats de l’AES.
